Propositions de textes: Jeudi 25 mai au lycée ( avec de nouveaux textes)

 

Jeudi 25 mai 15h05 à 15h30 : parcours dans le lycée.


Je sens le vent agiter les fleurs violettes attirant beaucoup trop les oiseaux de leurs mélodies, et de leurs ailes bien trop aigries, j'entends la cloche sonner au loin  tout en entendant aussi les autres parler. Je regarde ce bleu ciel attirant, les portes qui se ferment me  ramènent  à la réalité, une mélodie de piano  me fait rêvasser , je n’ai pas conscience  du fait que les caméras m’observent, quand soudainement une affiche du Japon m'attire, me faisant penser au beau cerisier de mon jardin, comme si la nature s'exprimait sans parler, puis la sonnerie se met à teinter pour me réveiller de mes pensées.. 



Dans la cour du lycée

Je sens autour de moi, une odeur fruitée

Yeux fermés, je devine que c’est un rosier.

Il fait lourd, il fait chaud, l’été c’est bientôt

Mais le vent frais nous rappelle qu’il n’arrive pas de sitôt.

J’ouvre les yeux

Je vois des fleurs blanches

Des roses, un rosier blanc

Les branches de ce rosier ont des épines

Ses feuilles d’un vert nouveau, sont rugueuses.

Un bourdon s’est posé,

Sur les branches du rosier,

Il butine, le pollen

Et, une fois son travail fini

Il est reparti.


 

Posée sur les escaliers

J'entends les oiseaux gazouiller

J'observe l'herbe danser 

Je me sens apaisée

 

Réveillée par une douce odeur

Tout me parait lent   

Je sens une douce lueur  

Le vent est sifflant

 

Cette ligne rouge m'interpelle 

Serait ce un rappel

De la cruauté de la vie

J'en bondis d'un air abasourdi   

 

 OBSERVATION

 Je vois les casiers gris avec tous les cadenas. La lumière qui vient du haut des vitres se reflète sur le sol. L’air est frais, il y a du vent dehors. Les lumières au plafond sont allumées. A ma droite, il y a une caméra. Il y a une plante au début de la pente, dans un gros pot blanc, beaucoup de ses feuilles sont mortes, desséchées. Le mélange des couleurs est joli : le vert des feuilles, les triangles rouges tout en haut du grand mur gris foncé, le bleu du ciel, le bleu foncé qui entoure les vitres du plafond. Tout est géométrique. Si je tends la main droite, ma main touche un gros cylindre porteur en béton, il est tout lisse au toucher. Pourtant il est sale, rayé, il ya des petits trous, je ne les sens pas. J’ai presque un peu froid. Dans la lumière reflétée du sol, je vois l’ombre des feuilles de la plante. Voir tous ces cadenas, tous ces casiers me donne envie d’imaginer à qui ils sont. Tous ces gens. Toutes ces vies. On est tous dans ce même lycée la plupart de nos journées. On se croise tout le temps et pourtant nous ne sommes que des inconnus. Ces casiers, ça me fait penser aux bancs avec les porte-manteaux à l’école enfantine. Aujourd’hui mes affaires sont dans un casier, avant, elles étaient sur ces bancs, ces porte-manteaux, il y a 10 ans… Quand je respire fort,  je sens un peu de poussière. J’entends la cloche de l’église au loin, des voix, quelques rires, des bruits de pas, de portes. Mais l’atmosphère reste calme. Je peux voir la poussière bouger, avancer sur le sol quand il y a un courant d’air. Les cadenas ont tous l’air  différents. Comme ces gens ! Tous différents. Les casiers sont tous un peu abîmés : des pètes, des rayures, gravures. Ils sont cabossés, mal fermés. Ça me fait de nouveau penser aux gens. On a tous notre passé, nos problèmes, nos blessures qui ont laissé des traces. On est comme ça tous différents. On a des choses enfermées à l’intérieur de nous. Certains casiers sont dans la lumière, d’autres non…

J’ai reculé. Le même endroit a l’air moins joli. Je le trouvais assez reposant, il y a dix pas, mais de là, il ne me fait  plus rien… Il fallait que je le vois de près pour l’admirer ! (Comme les gens !!)

 

 

A l’instant où je m’arrête, j’entends des élèves marcher dans le couloir. J’entends deux professeurs faire cours. Je sens l’odeur habituelle du lycée. De là où je suis-je, vois une chaise dos au mur de la salle 04 et d’autres élèves écrire tout ce qu’ils voient. Je peux toucher de là où je suis le mur froid du lycée et l’un des extincteurs.

Je n’entends plus qu’un seul professeur faire cours. Je peux sentir l’odeur du placard d’histoire. Je vois le numéro de la salle 06 qui est d’ailleurs ma salle d’histoire. Je peux aussi voir son emploi du temps affiché sur la porte. Je touche actuellement le placard d’histoire pour écrire cette phrase.IL me sert de support.

J’entends le bruit des escaliers qui résonnent dans tout le lycée. J’entends aussi le son d’une vidéo sur Rome et ses caractéristiques. Je sens une odeur de peinture dans les escaliers. Je prends mon temps d’ailleurs pour observer les murs bleus des escaliers et toutes les nuances de bleu perceptibles. Je regarde les portes coupes feux des escaliers. Je touche actuellement l’interrupteur pour éclairer les escaliers qui sont déjà éclairés pourtant par la lumière du soleil.

J’entends maintenant la voix de Sélim qui résonne dans les escaliers et dans chaque étage du lycée. Je m’imprègne toujours de  cette drôle d’odeur de peinture dans les escaliers. Je ne vois maintenant plus que Sélim qui lui aussi écrit sur sa feuille. Je suis actuellement entrain d’écrire assis sur la première marche des escaliers. 

 

Je bois de l'eau pour me rafraîchir,

L'eau fraîche et pure qui apaise mes désirs.

Mes mains sont mouillées, je les sèche avec le vent,

Une douce brise les sèche rapidement.

 

Je vois Aidanaël, je sens une amitié sincère,

Mais un élève d'une classe adverse me regarde avec colère.

Je sens sa haine car je suis libre dans les couloirs,

Tandis qu'il est en classe, seul, bloqué dans son désespoir.

 

Je me retrouve seul au milieu des cris,

Des gens qui crient que j’entends en écho

Le pollen pénètre mon corps, c’est fini

Je sens la fin approcher, des cloches qui sonnent en écho.

 

Je croise Jeremy, je me sens mal à l'aise,

Il flop, je le ratio avec grand plaisir

Dans les escaliers, Larbi et Alois,

Je m'assois avec eux loin de Jeremy

 

 

Je vois un radiateur blanc avec des taches noires,

Je sens l'odeur du travail,

Je vois un long couloir,

Je sens l'odeur du bétail.

 Je vois une poubelle dans laquelle il y a un sac noir,

Je sens l'odeur d'une fleur,

Je vois un mouchoir,

Je sens la chaleur.

 

J'entends le murmure du vent dans les arbres qui fait remuer les jeunes feuilles de printemps. Plusieurs oiseaux dans ces branches, dont le nombre n'est pas déterminable, jacassent, cassant l'atmosphère calme créée par le bercement du vent. Des petits groupes d'élèves autour de moi, plus ou moins loin lassés par les cours et rêvant des vacances, rajoutent de la vie au décor et me rappellent la même période il y a quelques années comme si le temps ne s'était jamais écoulé. Je change d'endroit, je m'assieds. Le soleil me tape sur le peau, le vent court sur mes genoux que mon pantalon ne recouvre pas, la mélodie des cloches s'harmonise avec le chant des oiseaux, on sent l'ambiance du printemps.


« Lycée vu à travers ma perspective »

Maintenant mes yeux se posent,

Sur un monde où la beauté repose.

Les mots se tissent en vers enchantés,

Pour décrire ce que je peux contempler.

Je vois le ciel azuré qui s'étend,

Comme une toile où le soleil descend.

La nature s'éveille tout autour,

Les arbres se balancent, fiers et toujours

Les fleurs s'épanouissent avec ardeur,

Offrant leurs couleurs avec ferveur.

Leurs pétales délicats et parfumés,

Embaument l'air d'une douce volupté.

A ma droite le bâtiment majestueux se dresse fièrement,

Témoin des savoirs partagés ardemment.

Ses murs chargés d'histoires et de souvenirs,

Résonnent des rires et des murmures à venir

Je vois des bancs accueillant les étudiants pressés,

Des moments volés pour échanger et partager dans ce lycée Camille Sée.

J’entends des conversations qui s'animent, mélange de rires et de débats,

Entre espoirs, rêves et discussions sans fin.

Et moi, observatrice attentive,

J’absorbe ces scènes jouissives.

Je deviens poète, spectatrice inspirée,

Et à travers mes yeux, le monde est célébré

Que ce moment précieux reste gravé,

Dans mon esprit, à jamais préservé.

 

Je sens l'odeur des cris de joie, dans la cour de récré,

Où les éclats de rire résonnent en échos enchantés.

Parmi les arbres complices, la nature s'épanouit,

Leurs parfums se mêlent, à l'insouciance qui sourit.

 

Je sens l'odeur des rêves, sur les bancs éclatants,

Les espoirs qui se mêlent, aux murmures du vent.

Les amitiés naissantes, comme des fleurs en éclosion.

 

Je sens l'odeur des amitiés, qui flotte dans l'air,

Les liens tissés, éternels et sincères.

Les rires complices, mêlés de confidences partagées,

Embaument l'atmosphère, d'une complicité bienveillante.

 

Dans la cour de récré, je sens l'odeur de la vie,

Un mélange d'espoir et d'énergie.

Chaque jour est un nouveau chapitre, à écrire avec passion,

Et c'est ce chapitre unique qui évoque l'adolescence en action. 

 

 A l'ombre d'un arbre, je sens le vent et l'air frais du printemps,

Autour de moi, j'aperçois des arbres entourées de feuilles et de fleurs à leurs pieds,

J'entends les feuilles bouger dans les arbres sous les pression du vent,
 
Le soleil vient peu à peu transpercer les rares nuages et transmet une chaleur assez agréable,
 
Entre quelques casiers, je ressens l'amitié des souvenirs du passé lorsqu'au collège j'étais.
 

Je suis devant un extincteur de fumée rouge, et juste à côté il y a une poubelle. Quand je tends mon bras, je peux toucher les pierres froides du mur, elles ne sont pas lisses, elles ont l’aspect du crépi. Les poutres qui entourent les pierres sont au contraire lisses et également froides. J’entends des personnes au loin chanter et les pas des personnes qui marchent près de moi. Je ressens un courant d’air de temps en temps.

Je suis devant des casiers, il y a plus de lumière, la lumière du jour et le vent souffle plus fort. Les casiers sont gris et noirs et je vois beaucoup de cadenas différents.

Je peux entendre des personnes parler. Quand je tends le bras, je touche les casiers, ils sont froids et lisses. Autour de moi j’ai de grandes fenêtres, à travers lesquelles je peux voir les personnes se promener et discuter, les feuilles des arbres qui bouge avec le vent.

Les casiers me rappellent le collège, nous passions la plupart de notre temps libre assis contre à l’extérieur.

Je suis devant une porte, plus précisément une issue de secours. Il y a une vitre, je peux  voir à travers les personnes à l’extérieur. Je ressens du chaud, qui vient de dehors, il fait beau et le soleil tape. Il n’y a plus de vent, à part quand une personne ouvre et referme la porte. La vitre est froide, la poignée est en métal et des affiches y sont accrochées. Les poutres qui entourent la porte sont en pierres blanche et lisses. J’entends l’église qui sonne au loin. Devant la porte, il y a du carrelage gris, un de ces carreaux est cassé.

Je peux aussi entendre la porte se fermer et s’ouvrir, elle laisse le bruit extérieur rentrer.

 

 Alors je vois comme une sorte de demi-cercle en face de moi le mur est un peu bousillé 
J'entends des discussions par ci par là
Et puis des bruits de pas 
Le sèche- main s'allume 
La lumière au-dessus de ma tête m'éblouit comme la lune
Je suis posé sur le rebord de l'escalier 
Et encore au-dessus de ma tête une caméra de surveillance 
J'entends les bruits de pas de mon camarade se faufilant derrière moi méfiance
 Maintenant Je suis dehors le vent souffle
Je suis posé sur le mur 
Il est vraiment dur 
J'entends des blagues pas très marrantes à côté je souffle
 
 

 

A l’instant je m’arrête, je suis en face d’un mur et en regardant vers le bas je vois un extincteur, une poubelle est face de moi. A ce moment précis, je sens une odeur de parfum très frais. J’entends des personnes qui chantent une chanson rythmée a priori cela doit provenir du premier étage. Le mur est en brique rouge et en face de moi il y a une porte condamnée. Quand je me retourne, il y a une pancarte sur le Japon.

A présent, je suis comme éblouis et lorsque je lève les yeux, cela provient du soleil qui se reflète sur la vitre. Je suis adossée contre un casier et j’entends encore les élèves chanter cette musique agréable à l’oreille.

Maintenant que je me suis déplacée, je me retrouve toujours encore entourée des casiers, tous possédant leur propre numéro. Certains numéros me font penser ou rappeler à des dates anniversaires ou à d'autres faits important de ma vie. Cet environnement me rappelle le collège, les moments à la récréation à discuter et rigoler en parlant de tout et de rien. Cela m’évoque de très bons souvenirs.

A présent, je suis dehors, au loin je vois des élèves assis sur les bancs de la cour de récréation, ils sont en train de discuter ensemble. Ah je viens d’entendre les cloches sonner ce sont celle de l’église non loin du lycée. J’ai une sensation de chaleur, c’est bien celle de l’été qui approche à grand pas.

Puis maintenant je me trouve dans les escaliers, je me suis assise sur les marches afin d’observer ce qui m’entoure. Je vois en face de moi un poster, c’est celui du spectacle Delta Charlie Delta ! cela m’évoque subitement le souvenir du spectacle d’hier soir, les rires de chacun et l’émotion à travers le texte et la représentation des personnages.

 

J’ai fermé les yeux et j’ai marché jusqu’à arriver à un endroit, L'air est frais et pur, empreint d'un mélange subtil d'odeurs de bois et de fleurs. Vous pouvez entendre le bruissement des feuilles et le craquement des branches sous vos pas. L’arôme douce des fleurs évoquait l’arrivée de l’été. Lorsque j'étends ma main vers le bas, mes doigts effleurent les délicates pétales des fleurs, tandis que lorsque je tends ma main vers le haut, je sens l'écorce rugueuse d'un arbre sous mes paumes. Je parviens à deviner qu'il s'agit d'une fleur, mais je suis incapable de déterminer précisément laquelle. Autour l'environnement respire la tranquillité et mes oreilles sont bercées par le chant mélodieux des oiseaux. Je ressens un vent léger, mais rafraîchissant, qui nous apporte une agréable sensation. En ouvrant les yeux, j'aperçois au loin des personnes assises sur un banc, engagées dans une conversation si discrète qu'on aurait presque pu croire qu'elles étaient silencieuses. Je remarque qu'autour de moi, le sol est jonché de feuilles tombées des arbres. Je vois que ses magnifiques fleurs sont d'un éclatant violet.

 

 

Je sens une odeur de chaud... cette chaleur qui embaume mes narines... ce qui me montre qu’il fait 18°C, on sent l’été arriver et l’effervescence d’un souvenir d’été passé, des sortie à ne plus compter et des habits à changer.

Je vois un coquelicot, ce coquelicot est rouge, il est seul, seul au milieu d’un champ que lui seul connaît. Ce champ remplit d’herbes hautes n’a personne chez lui à part des fleurs de tout genre et des arbres. Je vois un coquelicot, ce coquelicot fait quoi? il suit le sens du vent comme les branches des arbres.

Je touche un banc blanc éclairé par un soleil chaud et un ciel dégagé, qui est froid malgré un soleil tapant sur la surface de ce banc. Ce banc blanc touche un copain à lui ou son pire ennemi, ils sont liés à vie mais pas dans l’infini.

 

Je sors de la classe comme tous mes congénères

Je touche ce mur d’une froideur digne d’un congélateur.

Un bruit de classe siffle jusqu’à mon nerf auditif

Alors de cet exercice je me demande quel est l’objectif

Finalement je change de tactique,

Et vers la salle de classe je me redirige

 

Je croise un ordinateur HP, « HP » haut-parleur ?

En parlant d’haut-parleur,

Je me demande que fut cette mélodie que je fredonnais tout à l’heure.

Ma chaise que je pensais retrouver pleine de chaleur

Était froide comme le mur de tout à l’heure

Dans le couloir j’entends des rires moqueurs, les gens s’amusent !

Alors je sors de tout cœur

Et là sans m’en rendre compte un panneau noir et jaune j’admire

Du jaune sur du noir ce tableau doit être lu

Il ‘y a écrit histoire, cette matière sur laquelle j’ai jeté mon dévolu

 

Après ça,

Je suis monté au rez-de chaussée avec Yousra à mes côtés 

 

Marchant dans le couloir je lève ma main gauche et je sens la porte, elle était froide comme la glace, ça me fait penser à l’hiver.

 

Après avoir fait dix pas j’ouvre un casier qui était abandonné ou cassé avec ma main gauche et je me griffe le doigt sans le vouloir.

Je continue en marchant vers les toilettes, je rentre dedans et je mets ma main droite pour que le détecteur détecte ma main et le robinet s’ouvre. Ma main elle est mouillée donc je l’essuie.

 

Je m’assoie sur les escaliers avec Larbi et Aston et ça m’a fait penser quand les vieux au Kosovo ne laissaient pas les enfants s’assoir et être dans la même chambre donc les enfants restaient dehors.

 

Je monte au deuxième étage avec Aston et devant nous je vois des affiches des élèves de Camille See qui ont voyagé dans d’autres pays.

 

Je continue à marcher vers le foyer, je sens une odeur de chocolat et café en même temps et ça me donne envie de manger et de boire.

 

En descendant les escaliers je pose mon pied droit et c’est là que je marche sur un chewing-gum, ça me fait penser à la pollution et à l’insolence des personnes qui jettent des poubelles dans la rue.

 

 

Sensations au lycée

Je suis devant l’escalier près des salles 100, celui qui descend, je sens que l’atmosphère est plutôt chaleureuse, je reçois des couleurs chaudes qui se rapprochent du jaune, du marron…je peux sentir au toucher que la barre de maintien est à ma grande surprise plutôt froide, je sens aussi une légère odeur de café qui me fait me sentir bien, il fait ni chaud ni froid.

Dix pas plus tard

Je me trouve en bas de l’escalier., il fait légèrement plus frais, je sens que le bois des escaliers est rempli de poussière, je me tiens sur la dernière marche de l’escalier, il y fait encore plus frais et plus sombre, autour de moi les casiers accentuent l’assombrissement.

Dix pas de plus

Je suis devant le mur noir incliné sur la pente qui mène au niveau 0 en face d’une poutre en béton, j’aime beaucoup la sensation de rugosité présente sur le mur qui est irrégulier, cette couleur noire qui se rapproche de celle du charbon me fait penser à l’atmosphère d’un sauna et ce d’autant plus qu’il fait de plsu en plus chaud à cause du soleil.

Encore dix pas

Je suis sorti, je me suis arrêté dans la cour près de la porte, sur le muret un trou rond, je me suis assis dedans, les bruits des oiseaux me font penser à une rivière.

Dis pas de plus

Je suis au milieu de la cour, je sens la dureté du sol sous mes pieds, de la fermeté, l’air traverse mes cheveux.

Cinq pas de chaque pied plus tard

Je me suis installé sur le banc blanc, j’aime cette sensation, la lumière réfléchie sur banc blanc me fait mal aux yeux, heureusement que la rouille des bans vient atténuer la puissance de la lumière.

 


 

 


 

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